jeudi, avril 02, 2009

Explicacion necesaria

Osea que lo que paso (disculpen la falta de tildes) fue que yo iba en patineta vea....Tssssss, tsssssssss, tssssssss,tssssssssssssss, etc. etc. Y de repente se me atravezo un policia en bicicleta y me dijo lo que esta entre comillas alla abajito. El maitro me decia que en Grenoble esta prohibido usar skates y esas cosas con ruedas chiquitas que le hacen tsssssssss, tsssssssss, etc?, etc., Me dijo que porque no tamos considerados ni ciclistas ni peatones y que porrrrrr tanto, estamos fuera de la ley. La LEY FRANCESA no me proteeegeeeeee jajaja. No pué serrrr! jajaja Vino el Ale y siguio su camino al trabajo..."es que mire, maitro, le dije, este no es un skate, tampoco un monopatin como dicen los espanoles...no es nada de eso, monsieur, esto que usted ve...se llama PATricIa ErNEsTA y es la vengadora de las calles, es mi companera y es mi medio de transporte, asi que chau."




Tssssssssssss, Tssssssssssss, etc.,etc.,

mercredi, avril 01, 2009

Skates illégales en Grenoble (et par tout, en effet)

"Monsieur, je suis dans la obligation de vous informer que à la ville de Grenoble, les skates et touts les sorts de rollers sont interdits" : M. Le Policier


Dead End?*
(Cliquez ici pour voir l'arrête municipale)

* Should I? Shouldn't I?²

² Neeeeeeeeeeee, je laisse tomber la réglementation municipale!!! "C'est à dire, madames messieurs, je m'en fous"

mardi, mars 31, 2009

Surf it











Sache qu'on est capables de être chez nous, chaque fois qu'on le veut. C'est un truc de gonfler le cœur, le remplir avec des beaux sentiments. Moi, j'hallucine sur la planche, sur les rues.






























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lundi, mars 30, 2009

Chau, 2e 8

I've just finished school season with a group of students of middle school at Lycée Aristide Berges. Kind of funny 'cause this group, at the beginning of my contract as a spanish assistant, made me feel as if the road until today would be endless and really hard, imposible i'd say too.

Today, hopefuly, 'Ive reach that end of the road and I was able even to smile and laugh a bit with them. At the end of the hour, after I closed the clasroom's door, there was this strange same silence of the first day; but in the inside, in my inside, (and that was surely not there the first day), there was a sort of releaf that growed. It's not an usual feeling, actually, neither an easy one to explain, but its something like te releaf that appears when you look behind and, you see your own traces and the long (maybe not to long) way you have just ended....I felt as it was a growing little tree touching for the very first time, the sunlight, the fresh air...life.

De Voltaire a Google


En offrant au plus grand nombre une masse toujours croissante de connaissances, Internet réalise-t-il le rêve des Lumières ou prépare-t-il le cauchemar d’un savoir public livré aux appétits privés ? Grâce à — ou à cause de — Google, ces questions n’ont plus rien d’abstrait. Ces quatre dernières années, le célèbre moteur de recherche a numérisé et mis en ligne des millions d’ouvrages puisés dans les fonds des plus grandes bibliothèques universitaires. Pour les auteurs et éditeurs, cette opération constituait une violation flagrante du copyright. Après de longues négociations, les parties ont abouti à un accord qui devrait bouleverser la façon dont les livres parviennent à leurs lecteurs. Si les contours légaux et économiques du nouvel espace qu’instaure cet arrangement restent flous, l’objectif des directeurs de bibliothèque est clair : ouvrir leurs collections et les rendre disponibles à tout lecteur en tout lieu. Un projet simple en apparence, mais sans cesse entravé par les contraintes sociales et les intérêts économiques. Tout comme, il y a deux siècles, celui de la république mondiale des lettres.

* Article publié en Le Monde diplomatique par Robert Darton. Historien, professeur à l'université Carl H. Pforzheimer et directeur de la bibliothèque de Harvard.

Alejo----> etonné pour la étrange relation qu'on peut tracer entre le siècle des Lumières et le siècle de l'Information.